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| Sujet: Christopher Allan Neil Whiston ~~ Pour vivre heureux, vivons cachés ♥ Sam 26 Déc 2009 - 0:08 | |
| Généralités Nom : Whiston Prénom : Christopher Allan Neil Âge : J’ai passé tout juste 31 ans, étant natif du 14 décembre 2034 Race : Je suis un hybride Loup Profession : Ecrivain. Car les lettres et les mots ne peuvent qu’apporter du bon dans ce monde. Sexualité : Qu’importe, il faut savoir étudier tous les aspects de la sexualité ! Don : une ouïe plus développée que la moyenne et une bonne aptitude à la course malgré sa faible nature étant plus jeune.
Description Physique : Une silhouette au loin, se tenant droite et paraissant si frêle ; le soleil qui se couche en arrière-plan, illuminant ce corps blanc, si blanc, si pur, de ses derniers rayons cuivrés. Des mèches grises éparses dans lesquelles se cachent des oreilles à peine plus claires que la couleur de ces cheveux doux et soyeux. Il vous a vu, il vous écoute, ses yeux rouges orientés dans votre direction, sublimes iris couleur de sang à la pupille étrange, légèrement plus fendue que la moyenne. Vous vous approchez pour le détailler un peu plus et vous vous apercevez alors que cette silhouette est entièrement nue. Et que cette nudité embellie l’être frêle, tout en os et en muscle, si légère cette musculature qu’elle vous paraît inexistante. Il entrouvre ses lèvres roses et légères comme une plume… Oh ! Comme l’envie d’y gouter est forte mais c’est alors que vous apercevez les crocs : ces longues canines blanches, saillant dans sa bouche, entre ses lèvres qui, soudainement, vous paraissent moins attrayantes. Alors, vos yeux glissent doucement sur le coup grêle, sur la poitrine plate où pointent deux perles de chairs rosée mais cela ne vous intéresse plus, alors vous laissez vos yeux glisser sur son nombril. Une légère colonne de poils clairs commence à descendre un peu plus bas entre ses cuisses. Ses cuisses aux muscles noueux sur les côtés desquels vous apercevez ses mains. Oh, comme ses ongles sont étranges, on dirait des griffes. La vérité est là, sur les ongles de cette main, ongles noirs et luisants qui grattent négligemment le ventre plat, limite auriez-vous pu dire maigre. Car, c’est un fait, Chris est bien loin d’être épais… Et, oh ?! Qu'est-ce donc que cette chose qui se balance au gré de la brise ? Enfin, vous pouvez apercevoir cette magnifique queue touffu aux poils sans aucun doute aussi soyeux que sa chevelure argent. D'ailleurs, la pilosité de cet être, si faible, vous laisse perplexe. Comment un être qui semble descendre des loups blancs de Sibérie peut-il être si peu poilu ? Ca, ai-je envie de vous répondre, est un des nombreux mystères de la génétiques… Et les gamètes semblent prendre ce qui les arrange au moment de fusionner… Non, disons plutôt que l’ovule choisi le spermatozoïde qui le féconde… Mais, je m’égare. Vos joues ont pris des couleurs car vous avez eu le temps d’apercevoir l’entre-jambe de cet être qui, loin, bien loin d’être parfait, dégage pourtant quelque chose d’attirant, un charme irrésistible qui ne manquerait pas de vous happer tout entier s’il n’y avait pas ses iris étranges, profondes et pourtant si vides en train de vous fixer. Cet homme ne semble pas gêner d’être ainsi observer mais il ne semble pas apprécier la proximité dont vous faites part. Alors il s’éloigne et le temps d’un battement de cil, il a disparu de votre champ de vision. Ne reste alors pour vous, plus que le vide du paysage et la nuit tombante.
Morale : Lui qui semble si libre et si maître de lui, ce loup un peu solitaire qui sort rarement de chez lui pour affronter le monde, affronter la réalité de la ville des hybrides, est un être curieux et possédant une intelligence assez vive. Oh, bien sûr, vous trouverez toujours plus intelligent que Christopher, car ce ne sont pas les nombreuses connaissances dont il bourre son esprit qui le rendent plus intelligent. Il est simplement un peu plus instruit ; et puis, il a l’imagination débordante des écrivain. Sa vision du monde est assez étrange car loin de considérez que tout le monde est beau et gentils, il ne peut s’empêcher de penser cependant qu’en chacune des personnes présente en ce monde, se trouve du bon… Même caché chez le pire psychopathe. Et cela se retrouve souvent dans ses écrits : des méchants pas si méchants que ça, au passé sombre, souvent traumatique. A croire que c’est du vécu. Etant d’un naturel calme et un peu paresseux sur les bords, il possède une curiosité à la limite du malsain ; s’il le pouvait, il deviendrait la science infuse, capable de tout savoir, de tout comprendre, de tout retranscrire et bien sûr de tout modifier, de tout changer… Comme si la connaissance pouvait refaire le monde ! Ce qui est le plus énervant avec lui c’est qu’il est loin d’avoir hérité des caractères d’un mal dominant. Extrêmement paisible et patient, il prend la vie comme elle vient, se soucient peu du lendemain et des grandes instances qui les dirigent. Il eut tôt fait de comprendre que la maxime « pour vivre heureux, vivons caché » serait sa réplique favorite à tout ceux qui critiquerait son futur mode de vie, à la limite de devenir un ermite. Peu craintif, même tout le contraire, il possède une faculté d’adaptation impressionnante qui lui permet de paré à tout imprévu pouvant survenir sans se soucier des conséquences ou de ce que cela peut impliquer. Genre, on braquerait une banque en le prenant pour otage, qu’il serait capable de ne pas paniquer et même de soupire de contrariété de devoir rentrer plus tard que prévu pour s’occuper de son amour de petit bélier. Parce qu’en plus de cet étrange caractère, Christopher est quelqu’un qui donne son amour sans compter et sans attendre en retour, Jezekel étant l’un de ses seuls proches, il reçoit une énorme affection de sa part. Christopher, nous l’avons compris aime apprendre et étudier. Mais il est heureux aussi lorsqu’il s’agit de répondre aux interrogations de son protégé et de lui enseigner de nouvelles choses ; son amour des belles lettres vient aussi de cette amour des études, qu’il retranscrit dans ses romans. Pour le moment, le jeune loup a eut la chance de voir tous ses livres recevoir un vif succès et il espère que cela continuera encore longtemps ; détestant l’échec plus que tout et assez farfelu, il serait capable de ne plus toucher à un stylo avant des mois voire des années après un échec dans sa production littéraire. Plutôt renfermé, bien qu’aimant la civilisation et donc les gens en général, il se livre peu et on sait très peu de chose sur lui car il parle bien rarement de lui-même. Ce vide sur sa vie lui donne un certains mystère. Loyal envers ses convictions, croyances et autres, têtu en plus de ça, on a trop souvent du mal de lui prouver qu’il a tort ; il vaut mieux le laisser croire ce qu’il veut et abandonner que de chercher absolument à lui faire entendre raison. Surtout quand il a une idée derrière la tête, impossible de l’en faire démordre. Ainsi, Christopher est-il un être riche en couleur et qui peut réserver bien des surprises sous ses apparences calmes et placides, à celui qui s’y intéresse de prêt. Il serait même prêt à tuer ou à perdre la vie pour protéger ce qui lui est cher. Et ne vous fier pas à son visage rêveur et mélancolique, il sait très bien se battre en cas de besoin ! o/
Histoire :
~~ Naissance d'un loup blanc ~~
C’était une froide nuit d’hiver, le jour où le loup ouvrit les yeux. Un être chétif à la limite de la mort il fallait bien le dire, respirant avec difficulté si bien que les scientifiques qui avaient travaillés à son projets se demandèrent sur l’instant si ce petit survivrait. Ce qui fut le cas, puisque Christopher passa la nuit, avec difficulté certes mais il la passa tout de même. De ces premiers instants, le loup ne se rappelle rien. De son adoption, le loup ne se rappelle rien. Son plus vieux souvenir remontant à ses quatre ans, lors d’un noël particulièrement blanc et où son père adoptif, un vieil hybride chien avait vu son fils précédent mourir des suites d’une maladie orpheline que les médecins et infirmiers n’avaient su déterminé ; Karl, ainsi se nommait-il, malgré son âge avancé – environ une cinquantaine d’année – avait fait une demande pour avoir un nouvel enfant, demande acceptée puisque le petit loup blanc lui était tombé dans les bras. C’était un noël somptueux et joyeux, parsemé de ses éclats de rire et des sourires heureux du vieux chient. Oui, en ce temps là, l’enfant était bon vivant et malgré sa faible condition physique il se débrouillait plutôt bien pour survivre et apporté un peu de gaité à ce vieux veuf.
~~ Enfance d'un loup blanc ~~
Puis, Chris connut l’école. Ah, période difficile que celle-ci pour le petit être ! Période où il se détacha de tout aussi et où il accepta non sans mal la solitude qui l’étreignait sans cesse. Il était faible, plus que les autres, trop pour qu’ils puissent l’accepter sans rien dire et les brimades à son encontre ne semblaient jamais se tarir ; il était le mouton noir de sa classe, le mouton noir de l’école au grand damne de ses professeurs qui n’avaient pourtant rien à redire de ses notes ou de son comportement. On le laissa vite de côté ; tourmenter quelqu’un qui ne répond pas, quelqu’un qui ne pleure pas, quelqu’un qui ne se plaint pas… Bref, quelqu’un qui subit sans broncher, sans crainte et sans honte, n’avait rien d’amusant pour ses petits camarades qui se trouvèrent alors une nouvelle tête de turc. Et dans son immense solitude, ne possédant personne à qui parler – si on omet son ami imaginaire – dès qu’il fut en âge de lire, Christopher dévora les livres. Tout ceux de la bibliothèque adaptés à son niveau durent y passer et son appétit devint vite insatiable. S’il avait pu manger les livres pour apprendre plus et enrichir ainsi sa culture général, sans nul doute l’aurait-il fait ! Ainsi, naquit son premier amour : celui des livres, celui des lettres.
~~ Adolescence d'un loup blanc ~~
Le temps passa, Chris attaqua le cycle secondaire et pour la première fois de sa vie il dut consacrer quelques unes de ses sacro-saintes heures de lectures à ses nouveaux amis, de vrais amis, ceux qui ne jugent pas, qui vous aiment comme vous êtes sans vous poser plus de questions que nécessaire. La fit fut plus drôle et son caractère se formata au fur et à mesure pour devenir ce qu’il est aujourd’hui. Aux côtés de Karl, aux côtés de ses amis, aux côtés de sa solitude disparaissant petit à petit. Il grandit, le temps passa, le temps fila. Il devint plus musclé, moins maigre, plus mignon. Il partagea sa vie avec son premier amant mais cette histoire ne dura pas. D’autres suivirent mais aucune ne dura assez longtemps pour jurer de sa fidélité. En réalité, le loup n’était pas vraiment fidèle, il avait besoin de tout connaître, de tout comprendre et de tout essayer. Il n’avait pas de préférence, disait oui à quiconque voulait s’installer dans son lit. Raison pour laquelle ses couples ne duraient jamais bien longtemps. Ainsi le temps s’écoula-t-il sans que rien de vraiment marquant n’arriva dans sa vie. Jusque peu après ses vingt-neuf ans, alors que Karl se faisait vraiment vieux, l’hybride chien mourut, laissant un vide profond dans la vie du loup. Ainsi, il se retrouva seul dans la grande maison reçu en héritage de son père. Il y vécu quelques temps en compagnie de sa solitude, écrivant déjà à cet époque pour subvenir seul à ses besoins. Ce fut quelques mois plus tard qu’il fit une rencontre qui bouleversera sa vie à jamais : celle d’un petit bélier élevé par de vrais loups sauvages.
~~ Raison de vivre d'un loup blanc ~~
C'était une belle journée de printemps, une journée où sortir paraît tout naturel, même pour un ermite comme Chris. L'envie de verdure et de chercher un peu d'inspiration dans la nature, guida ses pas jusqu'à la forêt toute proche. Le soleil se trouvait haut dans le ciel, quand il tomba sur la meute ; il n'avait pas fait attention et s'était écarté des sentiers balisés. Etant loup lui-même, son instinct avait dû le pousser à venir là sans qu'il ne s'en rende vraiment compte. Ce qui le frappa cependant ne fut pas le calme des loups à son encontre, alors que naturellement il se pliait à la tutelle du mal alpha, non, ce qui le frappa, fut le petit bélier qui se trouvait parmi les loups : un être sauvage et pourtant physiquement et partiellement humain, comme lui et comme tout ceux de la ville. S'intégrer lui fut presque facile mais approcher l'être craintif le fut bien moins. Cependant, patient et calme, intrigué aussi par la présence de l'hybride ici, il resta tout le jour avec eux. Puis il dut s'en aller. Revint, maintes et maintes fois. Il donna même des noms aux membres de la meute, par fantaisie sans aucun doute et se fut ainsi qu'il donna un prénom à l'agneau se trouvant là ; car, comme tous les loups ici présent, il n'en possédait pas. Si bien qu'au final, il faisait presque partie de la meute. Il était comme un membre solitaire et têtu qui ne se plierait à la volonté du dominant que lorsque ça lui chanterait. Les jours, les mois s'écoulèrent ainsi, fugaces, étranges et cependant existant. Si bien même qu'il en oublia presque son chagrin dû au décès de son parent. La présence des loups et du jeune bélier lui permettaient de se concentrer sur un autre monde, un autre univers. Au final, Chris avait même l'impression que sa présence était devenue naturelle pour tous les membres de la meute, même pour Jezekel. Et puis, vint le second drame. Une journée tintée de rouge, tintée de sang. Une journée où la meute mourut sans un seul survivant. Du moins, c'est ce que cru Chris avec douleur, jusqu'au moment d'apercevoir l'agneau. Ainsi, l'enfant avait-il survécu à ce massacre, car il n'y avait pas d'autre nom pour témoigner de ce crime, c'était bel et bien un massacre qu'on avait perpétré dans ce lieu. Sans aucune autre famille, sans aucune autre attache, livré à lui-même au prix d'un sans doute trop grand désespoir, Jezekel vint-il habiter avec le l'hybride loup. Commença alors un long travail d'acceptation de ces étranges coutumes qu'il possédait, que tous les habitants de la ville possédait : parler, lire, écrire, dormir dans un lit, marcher sur ses deux jambes arrières, manger avec des couverts, se familiariser avec les objets de la maison, etc. Sans nul doute, ce périple fut long et fastidieux. Fastidieux ? Non, ce périple fut amusant pour Chris et réveilla son instinct paternel. Il n'avait pas songé un seul instant adopter un enfant avant de s'installer définitivement avec son conjoint - pour le moment inexistant. Au final, leur vie commune lui convenait bien, il n'avait besoin de personne d'autre pour l'enrichir ; son affection tout entière allait à l'agneau dont il s'occupait et ses besoins primaires étaient assouvis parfois dans des lieux de débauches mais il laissait rarement son protégé seul très longtemps. Le temps de faire une course seulement par exemple, et s'il pouvait se faire livrer, s'était encore mieux...
Vous Pseudo : Fehla - Williie Age : 18 ans en février Comment vous avez découvert le forum : Ce compte n’est qu’un nouveau commencement =3 Code : Code Validé par Sidney |
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