Animalia Kingdom
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 Moi : William Klein

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MessageSujet: Moi : William Klein   Moi : William Klein I_icon_minitimeLun 7 Déc 2009 - 1:22

Généralité


Nom : Klein
Prénom : William
Âge : Vous me donnez combien ?
Race : Aryenne. HUMAINE
Profession : Médecin (spécialité : chirurgien et fais ses début dans la recherche scientifique).
Sexualité : Euh… On va dire ambigu.
Don : Humm… En possession d’un scalpel, je peux faire des merveilles. *smile*

Description


Physique :

Une de ces nuits où vous vous aventurez dans les laboratoires scientifiques de la ville. Une pièce, entre-ouverte, vous en poussez délicatement la porte, sans faire le moindre bruit. Le scientifique est là, le nez fourré dans une pille de paperasse, un stylo fermement tenue à la main, toujours prêt à servir son maitre. Il écrit rapidement sur une feuille blanche.

Vous n’apercevez qu’une chevelure douce et grise, vous ne voyez pas les yeux, cachés derrière ces mèches grises, vous ne pouvez qu’en deviner les contours, et vous n’avez pas le temps de dire ouf, que le scientifique relève la tête. Il vous a entendu, il a entendu le son saccadé de votre respiration, vous tenez encore la poignée de la porte et vous retenez votre souffle : la force de son regard pourpre vous clous littéralement sur place. Vous avez l’impression qu’un rayon X passe au travers des fines lunettes de verre et examine votre corps tout entier. Si aucune anomalie potentielle n’est détectée, alors vous serez tranquille. Et pendant ce cours labs de temps, le regard n’étant plus tenable, vous ne pouvez que baisser la tête, vos yeux tombent alors sur des lèvres finement tracés. Closes, elles paraissent hautaines et même méprisantes. Et le regard devint encore plus lourd à supporter. Vous ne pensez qu’à ses yeux qui vous fixe. Vous sentez la sueur perler à votre front. Et vous baissez encore un peu plus les yeux. Vous apercevez alors le torse de l’homme, sa posture élégante, ses habits sans un plis, tout est propre sur lui, il n’y a rien à redire. La main droite a reposé le stylo, les longs doigts fins sont des plus harmonieux, pas étonnant pour un scientifique, un homme tel que lui est bien sûr… agile de ces mains. C’est en regardant ses mains que vous remarquez alors à quel point la peau de l’homme est pâle. Vous relevez un centième de seconde la tête, le contraste entre les yeux pourpre du scientifique et sa peau opaline semble alors vous aveugler et vous paralyser. Un rictus mauvais brise alors ce beau visage :

« Pourquoi restez vous plantez là devant mon bureau ? »

Vous vous excusez comme il se doit, mais vous savez que cela est inutile, l’homme n’a que faire d’écouter vos excuses. Vous vous apprêtez à sortir et apercevez du coin de l’œil le scientifique qui se lève, sa silhouette semble si suave… si… parfaite.
Le scientifique referme alors la porte d’un léger claquement agacé. Je retourne alors sans perdre plus de temps à mes affaires. Je m’assis et soupir. Quel travail fastidieux et inutile…

Morale :

Il y aurait tant de chose à dire. Et tant d’autre à passer sous silence. Que dire sur moi ? Quels sont les mots qui me décrivent le mieux ? Je n’en vois qu’un : perfectionniste. Je suis de ces gens qui vont jusqu’au bout des choses, qui aime prendre leur temps pour ensuite déguster la satisfaction de l‘accomplissement. Je ne laisse rien passer de qui me déplait. Et ne suis que très rarement satisfait. Suis-je alors quelqu’un d’agaçant ? Oh, si peu. De trop ambitieux ? Sans doute. D’égocentrique ? Peut-être. D’insensible ? Pas forcément. Les sentiments, ils s'affichent d'eux même assez aisément, et je ne parviens que trop occasionnellement à les cacher (et ce à mon plus grand regret…). Expression hautaine ? Rire qui ne présage rien de bon ? Sourire en coin ? Regard effrayant ? Lèvres pincées dans une expression menaçante ? Ou encore les joues rougissantes ? William Klein ? C’est moi. Je vis pour mes idéaux et suis la voie que je me trace moi-même, et si il y a une chose que je hais profondément, c’est sans nul doute la défaite.


Histoire :

Le titre qu’il portait divergeait. Ils étaient tous différents. Portaient des noms différents. Avaient des buts différents. Ils avaient des idées différentes selon leur personnage et leur époque, quoi de plus normal ? Mais, une chose les différencie. Ces gens là ont fait preuve d’un tel tact, d’une telle… originalité. Il étaient d’une intelligence… hum… « innovante » ? De rares stratèges, comme il n’y en a pas deux par siècles, et ils mirent tous autant qu’ils sont, leur géni au service de leurs causes, au service de leurs œuvres, et, peu importe de quoi relataient ces œuvres là, elles seraient toujours reconnues.
Dans l’histoire, on montre ces hommes du doigt, on se méfie d’eux, et on apprend aux nouvelles générations à ne pas suivre leur voie, car les tyrans finissent toujours mal. Cette loi est incontestable. Leurs actions sont dites « mauvaises ». Que nenni, chaque choses est neutre. Toute chose n’étant pas considérée de la même façon par tout le monde, on peut partir de ce principe pour démontrer que rien n’est mauvais. Napoléon, 1° du nom, France. Adolf Hitler, Allemagne. Che Guevara, Cuba. Bob Marley, Jamaïque. Dietrich Van Cleve, Angleterre. Tous autant qu’ils sont, tous autant qu’ils étaient, avec leur époques, leurs idées et leur peuples. Ils s’en sont sortis. De ce cercle infernal que l’on nomme les idéologies. Alors, quand on parle d’eux, l’on attend un minimum de respect. Du moins en théorie. Mais passer outre la théorie… Lorsqu’un supérieur au talent reconnu vient vous voir pour vous envoyer effectuer un travail impropre, ridiculisant… Vous ne pouvez que sourire et accepter. Maudit sois-tu Dietrich Van Cleve…

Avoir pensé, assis sur une chaise, un crayon mal aiguisé à la main, à des solutions pour que cela ailler mieux. Aimer jusqu’à l’impossible sa patrie. Plus que tout au monde, désirer la voir s’épanouir. S’improviser jardinier, pour chérir et protéger cette petite graine contenant l’espoir de tant de monde. Jusqu’à là la vie est naïve. Il faut rentrer dans le problème. Il faut nourrir et creuser ce besoin qui devient de plus en plus envahissant. Quoi qu’il advienne, être seul ne résoudrait aucun problème. Mais… ce que l’on recherche, pour l’avenir du monde, doit-il rester simplement sur le papier ?

Dietrich Van Cleve. Un nom qui représente beaucoup. Un nom « respecté » de tous. Un nom qui sera gravé à l’encre dans les livres d’histoire. Le nom de l’homme qui a fait un « exemple », un « sacrifice ». Cet homme qui a suivit son idée, sa thèse jusqu’au bout et qui est devenu l’un des premiers hommes à avoir « créé » des êtres hybrides. Et le seul homme à avoir fait l’expérience bien plus tard, sur sa propre progéniture. Pour tout vous dire, je n’apprécie pas cette idée de vouloir créer un nouvelle race humaine, ou animale, peu importe. Si Dieu ne l’a pas fait. Si Dieu n’en a pas jugé bon de le faire… Pourquoi les hommes en auraient-ils le droit ? Rien ne leur permet de faire ce qu’ils ont fait. Rien. Aucun appel ne sera possible, lorsque le moment ou la sanction divine aura lieu.

Moi ? J’ai réussit à intégrer la brigade scientifique d’Angleterre, et à m’approcher de très près des rumeurs concernant de nouveaux êtres. Ces espèces de bâtards, produits d’expériences diverses et impures, méritent-ils véritablement de vivre alors que Dieu n’a pas eut son mot à dire ? La réponse est évidemment non. Maudit-sois-tu-Dietrich-Van-Cleve. Que tes os aillent fondre en enfer, c’est tout ce que je te demande… Tu es venu me voir, alors que j’allais enfin pouvoir approcher les archives scientifique concernant la fusion des ADN. J’y étais presque et tu es venu fourré ton nez dans mes affaires. Je n’avais besoin que de ces informations pour comprendre le mécanisme et éviter de nouvelles expériences. J’y étais presque… Je tenais le dossier entre mes mains. J’étais… si près. Cela en est… hum… rageant. Mais j’ai eu le temps de lire un nom celui de « Animalia Kingdom » le nom de la ville fermé où vivent ces bestioles répugnantes. Et alors, que m’as-tu demandé ce jour là… Quelle ironie. Tu as décidé de m’y envoyer, pour surveiller ton fils. Adyel qu’il s’appelle hein ? Ne t’inquiètes de rien. Je veillerai sur lui… Tu as peut-être pousser les choses un peu trop loin en voulant faire de moi le nouveau jardinier du manoir que tu lui as offert. Alors comme ça tu l’as bien logis le pauvre petit ? C’est sûr, un manoir à lui tout seul… Il a dû s’ennuyer pendant toutes ces années, mais je mettrais fin à tout ça, n’ai crainte.

Adyel, je suis un scientifique, je serais en fait ton « jardinier », et j’aurai un tout autre objectif que de m‘assurer du devenir des plantes de ton manoir. Tâches seulement de m’accueillir comme il se doit à mon arrivée.

Moi

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